The sci-fi movie that Elon Musk adores


Si vous suivez le compte d’Elon Musk sur X (former Twitter), vous auraz surement entendu parler d’Idiocracy. Le ministre en charge de l’efficacité gouvernementale dans l’administration Trump, un nouveau portefeuille specially designed for him, a quote à plusieurs repeats a film and other messages. Le milliardaire a même confié, dans des interviews, que c’est l’un de ses longs-métrages préférés.

Mais de quoi s’agit-il? Disons-le tout de go : c’est un navet. Cette comédie de sci-fi, tour in 2005 in Austin (Texas), est une mauvaise farce. Jugez-en pluto: elle conte l’histoire d’un soldat américain qui se retrouve cryogénisé dans le cadre d’un program Secret du Pentagone. Oublié dans les sous-sols d’une base militaire pendant cinq siècles, il se réveille en 2505 à la faveur d’un accident.

A delirious scenario

Notre Hibernatus des temps modernes découvre alors, effaré, ce que sont devenus les États-Unis. Joe Bauwers (interpreté par Luke Wilson, aux faux airs de Steve Carell) realizes that the boy pays a grim sum. The population has become literally debilitated. Elle a élu à sa tête un personnage fantasque au caractère invisible (ça vous rappelle quelque chose ?).

Dans cet univers navrant, Joe Bauwers appears comme supérieurement intelligente. Et ce, bien que son dossier militaire pointe son faible QI au debut du film. Mais puisque, « au royaume des aveugles, les borgnes sont rois », notre héros se retrouve rapidement nommé ministre de l’Intérieur par le president Camacho (campe par Terry Crews), an ancient champion of capture.

Joe Bauwers de régler tous les problèmes du pays. Du moins ceux que lui liste Camacho: les tempêtes de poussière qui ravagent le pays, le déclin de son économie, mais aussi les soucis d’acné de la jeunesse américaine et son mal des transports (sic). S’il n’est pas capable de treater l’integralité de ces dossiers…, il sera sendée en burg.

À LIRE AUSSIE Comment la censor a créé Elon MuskAvec l’aide de Rita, une jeune prostituée campée par Maya Rudolph (figure bien connue du petit écran américain puisque’elle intervient dans l’émission satirique Saturday Night Live), Joe n’a d’autre choix que de se mettre à la tâche. Cependant, l’ampleur du désastre et son manque d’expérience politique sont tels que Bauwers va vite douter de sa capacité à infléchir le destin de son pays. Dès lors, il n’aura d’autre idée en tête que de trouver une machine à remonter le temps pour fuir cet avenir de cauchemar.

Potato mood

Written by Mike Judge and Etan Cohen, the dystopian scenario of ce nanar est bien dans l’esprit de la série Beavis et Butt-Headque les deux auteurs avaient créée pour la chaîne MTV au milieu des années 1990. Cette fable à l’humour souvent douteux parodie l’esthetique de Blade Runner (les effets spéciaux en moins car nous sommes ici dans une petite production) et emprrunte son ressort dramatique à Retour vers let enter.

Ces faibles clins d’œil cinéphiliques ont rapidement valu à Idiocracy le statut de film culte chez les jeunes. D’autant que l’œuvre a gagné un parfum sulfureux lorsque la 20th Century Fox (qui le produisait) a hésité à le sortir. Les pontes du studio is visible to appreciate in the portrait of the authors of the dress of Fox News. À l’affiche d’un nombre très limité de cinémas outre-Atlantique, in 2006, in the long measure of promoting the genuine campaign. Et, en Europe, il est diremente sorti en DVD, sous le titre abscons de Stupid Plans. (Il est aujourd’hui disponible sur la platforme Disney+.)

Cult film

Les raisons du success d’Idiocracy dans la communauté geek s’aisément clear. Ce film ne représente-t-il pas un monde où la culture dominante est celle des teenagers? Over time, spend a video on the console, watching mini-movies, burlesques sur petit écran and à boire des sodas…

Le sexe y est omniprésent. Dans la société américaine de 2505, les citoyens n’ont d’autres préoccupations que de satisfyer leurs appétits charnels. Starbucks is a company of lupanarians. Et les atrices de films porno occupent des postes ministériels that are not inevitable in presentatrice télé. Tout le monde étant par ailleurs en surpoids, les standards de beauté classique ont volé en éclats. Les codes de la mode, aussi, puisque les vêtements sont tous couverts de logos publicitaires.

Récit prémonitoire

Revoir ce film aujourd’hui est, reconnaissons-le, douloureux. Outre le fait qu’on a sans doute passé lâge pour apprière à leur juste valeur les jeux de mots scabreux dont sont farcis les dialogues, le monde décrit par Mike Judge et Etan Cohen nous trend un miroir peu flatteur.

Dans le film, le system éducatif a fait bankrupt. Les adultes savent à peine lire et écrire. Les gens pensent que c’est Charlie Chaplin qui était à la tête de l’Allemagne nazie! L’hôpital est à la rue. La recherche scientifique s’étant tournée vers les seuls sectres profitable (le maintien des fonctions érectiles chez l’homme et la lutte contre l’alopécie), il ny a plus d’argent pourantéles services. Consequence: les Médecins ont été replacés par des machines. Finally, the Ministries of Agriculture and Food were privatized. Rachetés par une compagnie qui ne produit que de la «junk-food», is imposing à la population des aliments trop gras et trop sucrés.

Les citoyens portent un tatouage qui est regularly scanned par des robots pour verifier leur identité. La police a la gâchette facile. Il faut dire que la duna règne. Si la Maison-Blanche est en si piteux état (sa toiture s’effondre), on devine que c’est à cause d’émeutes. Une scène où la crowde assiège le bâtiment présidentiel rappelle irresistiblyment l’attaque du Capitole le 6 Janvier 2021. l’enceinte du colisée.

A potential double lesson

Comment les États-Unis ont-ils pu en arriver là ? La scène d’ouverture l’explique sans detour. Le spectateur y découvre quatre personnages : Trevor et Carol, d’un côté ; Clevon et Trish, de l’autre. The premier couple reunit deux jeunes intellectuals de la côte est qui n’ont pas d’enfant. The second, des représentants de l’Amérique profonde, au niveau d’éducation très faible, à la tête d’une impressivene famille nombreuse.

Le pitch du film se resume à cette idée simpliste : les idiots faisant plus d’enfants que les gens intelligentes, plusieurs générations plus tard, ce sont les descendants de la progéniture de la Clevon et Trish qui que les gens intelligentes et Carol. The intelligentsia “woke up” from New York and Boston and donc perdu la bataille face aux “red necks” from the “Bible belt” [ces États du sud de l’Amérique où politiques conservateurs et prédicateurs évangéliques distillent le même discours, NDLR].

Ce nest pas tant la baisse du QI de la population des États Unis que cette défaite de ses enemis politiques qui rejoicing visually Musk. At the beginning of un pays en cappilotade, le film conforte aussi son idée que les élites de Washington conduisent le pays à la ruine. Le patron de X regularly cited the film to comment on the key moments of the Kamala Harris campaign: notamente cette émission télévisée où, dans un rire forcé, l’ex-candidate à la presidency énonce james qu’ais “on u zjua” .

Anti-progressive, Elon Musk’s lecture in his film was not convinced about the discourseIdiocracy est profoundly democratic. Ses auteurs, Mike Judge et Etan Cohen, moquent en effet avant tout les dangers que fait courir sur la démocratie américaine un personnel politique de plus en plus populiste. Difficult to write by representatives of the Tea Party to port Trump au pouvoir en écoutant le personnage de president Camacho. Il fait des promesses intenables et dessignée systematicement des boucs émissaires pour explicer qu’il n’ait pas pu les tenir.


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Le Kangourou du jour

Answer



Flattant ses partizans dans le sens du poil, survolté lors de meetings politiques où il multiplie les mensonges, manipulant sans vergogne la réalité et affichant une vulgarité I assume destinée à “right of people”, ce chef itatser de 47e président des États-Unis, qui vient d’acceder à la Maison-Blanche.

In 2016, at the moment of Donald Trump’s premiership victory profile, les auteurs d’Idiocracy avaient tenté de faire renaître leur président Camacho pour se moquer de la campagne du candidat républicain. Leur idée était de faire de ce grotesque president de fiction, le héros d’une série de fausses publicités. La 20th Century Fox, qui détient les droits du film, s’est opposé au projet. Par crainte de se mettre à dos le nouveau resident de la Maison-Blanche?


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